#18 – Rendez-vous musicaux 2019 !

#18 - Rendez-vous musicaux 2019 !
Une histoire de transmission, d’innovation et de ... calendrier ! 🗓

Ce matin, sensation de déjà-vu.
Je vous écris à nouveau depuis l’Eurostar, direction Londres. Comme dans mon tout premier article sur la préparation de concert.

 

Lors de l’embarquement tout à l’heure, je repensais à la thématique « voyages de musicien » dont je vous parlais dans les articles 11 et 12.

 

Vous vous souvenez de l’escape-game à l’aéroport ? ✈️

 

Eh bien, nouvelle moyennement réjouissante – il ne reste plus qu’à en faire une version Eurostar, autrement dit…la devise n’est plus “A nous de vous faire préférer le train” 🚄😅
mais :

 

Quand prendre le train devient à peu près aussi contraignant que l’avion. 😱

 

Pas le droit de passer avec son café lors des contrôles de passeport,
enlever ses lunettes lors du contrôle de passeport automatisé (un grand moment de solitude pour la myope que je suis),
surveiller que le violon « passe » sans problème et que la boîte de violon ne se fait écraser par les valises qui suivent sur le tapis roulant incliné…

 

Bref ! Contrôles sur contrôles. Et nous sommes encore en pré-Brexit.
Strange times we live in

 

Oui, la musicienne-voyageuse peut être râleuse de bon matin ! 😛
Mais très heureuse d’aller à Londres pour des sessions de travail intensif.
Je vous reparlerai de mes sessions londoniennes – I promise ! 🇬🇧

 

Les semaines passées, je clôturais mon « bilan en musique » de l’année 2018.

 

 

 

Cette semaine, je vous parle de 2019 et vous présente mes projets car, outre nos discussions en commentaires sur ce blog, j’espère bien vous rencontrer au fil de mes déplacements !

 

🎬

 

En 2019, les mots-clés pour moi sont :
Enregistrer
transmettre – enseigner
communiquer
jouer !

#1. Enregistrer un nouvel album ! 💽

Début Mars, nous rentrerons en studio avec mon complice musical, le pianiste Aurélien Pontier pour enregistrer un nouvel album. Ce sera pour le label NomadMusic.

 

Nous peaufinons les derniers détails de la préparation.
Un programme de pièces que nous adorons…
pour l’instant, top secret ! 🕵

 

Je suis particulièrement impatiente de retourner en studio pour enregistrer cet album violon-piano car les dernières années – hormis un disque consacré à la musique de chambre du compositeur Hermann Goetz, j’ai fait une pause discographique.

Flashback

Mes débuts discographiques remontent à 2003 avec les sonates de Brahms. J’avais une toute petite vingtaine d’années. Enregistrer Brahms si jeune était un choix audacieux mais finalement logique car je passais – littéralement – ma vie avec ce compositeur.

 

 

A cette époque, je baignais dans la littérature allemande et j’analysais ses partitions sans cesse, notamment auprès du compositeur Gyorgy Kurtag lors de nombreuses sessions mémorables.

 

Je me souviens d’un Réveillon de Nouvel an passé à la Cité des Arts à Paris avec une amie à comparer des versions du 2e Concerto de piano de Brahms en parallèle avec des lectures du Docteur Faustus de Thomas Mann.
C’est vous dire le niveau d’ addictionNeuro-sciences…!

 

 

Au piano, c’était le pianiste arménien Vahan Mardirossian – un grand frère musical.
L’enregistrement dans la salle de l’IRCAM fut très intense, j’en suis ressortie… lessivée.

 

Ce disque m’a ouvert beaucoup de portes et a lancé ma carrière avec ma nomination comme révélation classique de l’ADAMI suivie des nominations aux Victoires de la musique en 2004 et 2005.

 

 

Ont suivi une participation dans l’intégrale de la musique d’Eric Tanguy puis un album solo sorti en 2008 intitulé « Après une lecture de Bach ».



 

Cet album correspondait à un autre moment. J’étudiais avec la fantastique Ana Chumachenco à Münich tout en poursuivant des études d’esthétique et d’analyse musicales au CNSM de Paris.

 

Là encore beaucoup de lectures inspirantes et une passion forte pour l’univers de Borges, écrivain argentin.

 

Ce qui m’occupe alors (et toujours !), c’est le concept d’ intertextualité voire de transtextualité.
Mot un peu barbare, concept développé par Gérard Genette (pour la littérature) qui vient porter l’idée que les œuvres résonnent entre elles, et à travers l’histoire.
Dans un geste similaire, le titre donné à l’album est bien sûr un clin d’œil à la pièce de Liszt “Après une lecture de Dante”.

 

Je concocte un programme autour des Sonates et Partitas de Bach, avec la 4e sonate d’Ysaye et la sonate de Prokofiev peu enregistrée. La pièce de Karol Beffa éponyme vient prendre le centre du disque dans une construction en arche. On commence et on referme par JSB.

 

Bach que je grave une première fois. Depuis mes interprétations ne cessent d’évoluer, notamment avec l’étude approfondie des pratiques historiquement informées.
Un chemin fascinant…

 

Pour ce disque, l’accouchement se fait dans la douleur. Rien de tel que de se retrouver seule face aux micros impitoyables et intransigeants dans un répertoire si exigeant.
La tension vers une perfection inatteignable par définition… Je sors des jours de studio dans un état d’épuisement mental et physique extrême.

 

Vous vous souvenez, ce corps souffrant dont je vous parlais dans la Santé du musicien !

 

Pourtant une fois l’objet CD dans les mains, quelle émotion !
Nous qui travaillons dans l’éphémère, tendus vers le moment du concert, le disque vient donner la possibilité de laisser une trace, dans le temps.

 

Condition du… musicien moderne, pour paraphraser Hannah Arendt !

 

En 2008 j’enregistre avec l’orchestre de la Garde républicaine les pièces françaises avec orchestre.

 

 

Cette fois il s’agit d’un « live » édité. Le concert est donné plusieurs fois de suite aux Invalides et enregistré chaque soir. Ainsi on dispose de plusieurs versions de concert à partir desquelles on peut rectifier, monter, « patcher ».
Compromis assez séduisant entre la magie du concert et la sécurité de quelques corrections. En tout cas, une expérience incomparable avec le studio.

 

Sur l’enregistrement je rencontre Hannelore Guittet, ingénieur du son qui va diriger l’enregistrement en Mars 2019 !

 

A cette époque, c’est quand même une certaine ambivalence qui domine mon rapport à l’enregistrement. Je profite de mes migrations diverses (Taiwan, Allemagne) pour me développer …loin des studios.

 

En Allemagne, on me propose d’enregistrer un CD de la musique de chambre de Hermann Goetz, compositeur tombé dans l’oubli, épigone de Schumann et Brahms. L’équipe est excellente, le processus simple, efficace et convivial.
Le disque obtiendra d’ailleurs d’excellentes critiques dans la presse allemande.

 

Expérience assez thérapeutique somme toute.
Evidemment il y a une certaine légèreté à enregistrer des œuvres non documentées. Légèreté au sens de liberté de l’interprétation par rapport au poids ressenti lorsque l’on grave des œuvres comme les sonates de Brahms ou la Chaconne. Le poids des références discographiques.

 

Vous savez, ces « incunables » ou incontournables que l’on retrouve souvent dans des émissions comme la « Tribune des critiques ».

 

Finalement c’est cet été que j’ai retrouvé avec un plaisir immense les studios pour l’App NomadPlay. J’ai clairement retrouvé le goût d’enregistrer. Je vous en parlais récemment.

 

J’ai pris conscience du chemin parcouru, la valeur de l’expérience : que ce soit la gestion de la préparation avant de rentrer au studio, le fait d’ avoir tellement de vécu avec les œuvres jouées beaucoup sur scène ou la gestion du mental et du corps pendant les journées de studio.

Enregistrer a donc une tout autre saveur maintenant.

Il y aurait beaucoup à dire sur ce processus d’enregistrement. Je vous en parlerai dans un prochain article, c’est sûr !

 

La sortie du disque est pour début 2020.

 

Pour patienter, j’aimerais vous parler de mon complice musical – Aurélien Pontier.

 

Avec Aurélien nous nous connaissons depuis mes années du CNSMDP, en toute fin du siècle dernier (Eh oui !) Nous partageons un amour du répertoire que nous allons graver.

Lors des sessions de répétition, cela rigole beaucoup et nous expérimentons !
On négocie des « scénarios » possibles pour chaque interprétation.
Ah, rhétorique quand tu nous tiens !
Il s’agit de trouver la narration commune, la logique interne de chaque pièce pour lui redonner une totale liberté à l’intérieur d’un cadre commun.

 

Si vous nous croisez dans les rues de Paris en train de chantonner avec des expressions faciales sordides, ne vous inquiétez pas !
Cela ressemble un peu à cela :

https://www.youtube.com/embed/FQCdQpRxhKE

 

Last but not least, Aurélien sortira un disque Liszt en Mars 2019.

 

 

Il ne faut pas le dire mais…
j’ai eu le privilège de l’entendre en avant-première.
Et croyez-moi, c’est impressionnant ! 😎

#2. TRANSMETTRE / ENSEIGNER
ateliers, masterclasses et innovation pédagogique

Ateliers Sciences Po

Comme je le partageais récemment avec vous, l’atelier « Music & Politics at the age of the extremes » que j’ai concu pour Sciences Po a été validé. Je le donnerai donc ce semestre.

 

Je suis particulièrement impatiente car l’atelier sera donné sur le campus de Reims et en anglais. 🇺🇸
Le campus de Reims accueille le pôle Euro-Amérique où séjournent beaucoup d’étudiants en échange, en provenance d’universités américaines.

 

L’année passée lors du séminaire « Opéra, musique et politique », j’ai eu la chance de rencontrer des responsables d’un département très stimulant à Sciences Po : celui des innovations pédagogiques.

 

Cela a généré de nombreuses conversations (enflammées !), réflexions (stimulantes) et lectures (passionnantes) notamment sur l’emploi des neurosciences dans l’enseignement et sur la métacognition – des thématiques qui m’occupent depuis un moment, vous le savez !

 

D’ailleurs, vous vous souvenez, l’apprendre à apprendre ?

Moodle, Doodle, schmoodle ?🤓

Ainsi, ce semestre je vais pouvoir utiliser de nombreux moyens technologiques lors de l’atelier, que ce soit un Moodle ou des Apps.

 

Un Moodle est une plateforme d’apprentissage en ligne qui permet de partager des contenus et des activités spécifiques avec les étudiants – une plateforme sur mesure pour la classe. 😉

 

Pour les Apps, il s’agit de générer un maximum d’interactivité et d’engagement des étudiants.

 

De plus, je pourrai utiliser la cabine e-learning pour enregistrer des vidéos et ainsi générer des « classes inversées ».

 

La classe inversée permet de renverser la répartition des tâches habituelles entre salle de cours et travaux à la maison. Ainsi les étudiants pourront avoir les « cours à la maison » et faire les travaux pratiques ou exercices en classe.

https://www.youtube.com/embed/uLKmLDrGyjw

 

Je suis impatiente de voir en pratique comment ces outils contribuent au changement de paradigme pédagogique et favorise un « student-based learning », enseignement centré sur l’étudiant.

 

Outre la transmission de notions d’histoire de la musique et le traitement de l’articulation entre musique et politique, j’aurai à cœur de transmettre d’autres compétences comme la rhétorique, le travail en groupe et la mise en place d’un projet sous forme de blog ! ( Si si !)

 

Ce que je trouve fascinant dans ce cadre, c’est l’opportunité de repenser la relation prof-élève. Certes, le professeur est un expert dans son domaine. Mais il est aussi apprenant et interagit dans une dynamique d’horizontalité.

 

La thématique m’occupe depuis plusieurs années. J’ai maintes fois repensé mon parcours et mes expériences aussi bien en tant qu’étudiante qu’enseignante. Comment ai-je appris ? De qui ? Dans quel état d’esprit ? Qui suis-je dans la salle de classe quand j’enseigne?

 

Mon obsession depuis :
comment faire bouger les lignes, repenser l’enseignement au XXIe siècle, faire changer les mentalités.

 

Et ma table de chevet déborde régulièrement de livres de Jacques Rancière ou d’Edgar Morin. Le dernier en date pour moi, c’est l’ “Apprendre au XXIe siècle” de Francois Taddei,

 

Je vous en reparle plus en détail très bientôt.

https://www.youtube.com/embed/BhunNczVNaA

 

D’ailleurs, j’ai beaucoup résonné en lisant la citation en exergue du livre de Taddei, extraite de Citadelle de Saint-Exupéry :

 

“Si tu veux construire un bateau, ne rassemble pas tes hommes et femmes pour leur donner des ordres, pour expliquer chaque détail, pour leur dire où trouver chaque chose.
Si tu veux construire un bateau, fais naître dans le cœur de tes hommes et femmes le désir de la mer.”

 

Ainsi au-delà de la transmission de la musique et de l’histoire de la musique, il s’agit de :

 

faire naître le désir…de la musique !

 

D’autre part, en Mars je donnerai des masterclasses au CRR de Strasbourg.
Je me réjouis de retrouver là-bas des collègues que j’aime beaucoup et qui font un travail remarquable.

 

 

J’adore Strasbourg, ville européenne. J’ai quand même un quart de sang alsacien ! 😉
Là encore j’aurai à cœur d’apporter quelque chose de faire bouger les élèves, apporter une autre perspective.
Il faut dire que j’aime de plus en plus le cadre des masterclasses.

 

On peut y apporter quelque chose de différent, que l’on n’a souvent pas le temps ou l’espace de développer quand on est en charge d’une classe dans un cadre plus régulier et traditionnel. De plus, la réceptivité des étudiants y est tout autre.
Le travail ressemble plus à du coaching.
Ce que j’adore faire…
Je vous en reparlerai.

#3. COMMUNIQUER

Ecrire✍️
Le blog et tribunes pour la Lettre du Musicien

En 2019 je vous retrouve bien sûr toujours sur ce blog et espère poursuivre les nombreuses conversations engagées en commentaires et en messages privés.

 

Je suis très heureuse de vous annoncer la publication de ma première tribune sur le journal « la Lettre du Musicien » lors du numéro de Février 2019.

 

 

Qui eût cru ce que la résonance d’un blog pouvait amener ! 😊

 

Je dois dire que cela me touche particulièrement car à Marseille nous recevions la Lettre de Musicien à la maison. Depuis toujours…ma mère s’y était abonnée, elle découpait religieusement les éditos et articles thématiques et regardait les annonces d’académies d’été ou des concours.

 

Depuis la province (oui, Marseille est une capitale, mais… !) et n’étant pas d’une famille de musiciens, quelle source précieuse d’informations sur le monde musical, les stages, etc…!

 

La tribune s’intitule : « Le trac, parlons-en ! »
Vous vous souvenez, je vous avais déjà parlé de la gestion du trac dans un de mes premiers articles du blog #3 !
Là j’y ajoute une nouvelle perspective artistique et pédagogique en distinguant le bon du mauvais trac.

 

Hâte d’avoir vos retours !
Une prochaine tribune suivra.

 

D’ailleurs le journalisme me fascine. Je me forme en ligne !
Il est passionnant de réfléchir au futur des médias en général et en particulier pour la musique classique.
D’où mon sondage récent auquel j’ai reçu des réponses aussi détaillées que motivantes ! Merci 🙏

 

Une des questions cruciales restant, le futur de la moustache de Clément Rochefort : jusqu’où ira-t-il?

 

 

J’ai hâte aussi de retrouver Frédéric Hutman pour un nouveau podcast où nous devrions parler d’interprétation de texte !! sujet passionnant s’il en est – dans le cadre d’une conversation croisée avec ….un grand monsieur !!! (Je vous en dis plus très vite !)

#4. JOUER

des rendez-vous de concerts 🗓
*** save the date ***

N’oubliez pas, je serai ravie de vous voir après les concerts !

Quelques « temps forts »

  • les Flâneries Musicales de Reims, 19 Mars et 25 Juin
    Je suis particulièrement heureuse de retourner aux Flâneries.

 

J’y ai fait mes débuts en 2003 sous la baguette de Frédéric Lodéon (dont je vous parle très bientôt !!).

 

 

Que de souvenirs ! J’y suis retournée maintes fois pour jouer le Quatuor pour la fin du temps, des récitals avec Vahan Mardirossian, avec Dana Ciocarlie, en trio avec Vahan et la violoncelliste anglaise Natalie Clein, en trio avec Jerôme Pernoo et Ducros, en soliste avec l’orchestre de Picardie dans Tchaikovsky et Bruch…

 

Cette année, sur l’invitation de Jean-Philippe Collard, j’y retournerai deux fois :
le 19 Mars au Cirque pour le lancement du festival dont c’est la 25e édition !

 

et le 25 Juin pour mon récital Violon+ où je joue et j’explique des oeuvres du répertoire pour violon seul.

  • le festival de Radio-France Montpellier en résidence autour du compositeur Magnus Lindberg 23 et 24 Juillet.

 

La dernière fois que j’étais au festival de Montpellier, c’était lors du concert de clôture « Gala du violon » en 2013. J’y avais joué dans la grande salle de l’Opéra le Poème de Chausson et l’orchestre de Montpellier sous la direction d’Enrique Mazzolla ainsi que la Fantaisie sur Tristan de Waxman très rarement jouée ! C’était avec le même orchestre et le même chef et Aurélien Pontier au piano. Le concert avait été diffusé en direct sur France Musique.

 

 

Je serai au Festival de Radio France – Montpellier en résidence autour du compositeur Magnus Lindberg. Ce sera le 23 et 24 Juillet 2019. concerts de 18H

 

Au programme : Lindberg, Bach, Ravel, Brahms

 

Je serai entourée de mes fantastiques partenaires de trio Florent Boffard, piano et Anssi Karttunen, violoncelle pour Ravel et Brahms.

 

Je jouerai également une sonate de Bach en solo. Magnus Lindberg sera présent. Anssi et moi jouerons son trio avec lui au piano !

 

 

Impatience. Quel privilège de travailler avec un compositeur vivant et de jouer sa musique avec lui !

  • le festival de Cordes-sur-Ciel 26 Juillet

 

Là, ce sera une première fois et ce sera une journée marathon pour moi. La thématique cette année est autour de l’Allemagne.

  • un midi avec Bach solo
  • une après-midi avec des vents en musique de chambre
  • et une soirée qui culmine avec une de mes pièces favorites : le Septuor de Beethoven avec une équipe top.

 

Le Septuor de Beethoven est une merveille. C’est la quintessence de la musique de chambre, avec une instrumentation géniale qui donne au discours une dimension tour à tour opératique, chambriste ou symphonique.
Un mouvement lent à tomber parterre, des sonorités sublimes, des moments d’humour et une partie de violon digne d’un concerto : jubilatoire !

https://www.youtube.com/embed/wId7PQLKMrk

  • Et puis, plusieurs récitals avec Abdel Rahman El Bacha dont à Viellevieille (13 Août), St-Emilion (11 Septembre) aux Grandes heures

 

Nous revisiterons des grandes sonates du répertoire dont Schumann qui nous tient particulièrement à cœur.
Je vous en parlais dans les articles sur la mémorisation.

 

 

🗓Voilà les grandes lignes de 2019 en musique :

 

enregistrer, enseigner, communiquer, jouer

 

Pas si étonnant puisque j’adore cette phrase attribuée à Lévinas
qui est – en quelque sorte – ma devise !

« Croire, célébrer, transmettre »

Voilà ce que je nous souhaite :
Que 2019 génère de belles conversations et de beaux moments d’échanges,
sous le signe du partage et de la transmission !

 

Prenez date et faites moi savoir si vous voulez venir ici ou là. Je me ferai une joie de vous obtenir un billet, dans la mesure du possible !

 

Promis, je vous tiens au courant et vous,
vous me dites où on se retrouve ?

🎬

 

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