

Commentaire très intéressant !
J’ai d’ailleurs toujours adoré l’idée de téléportation #dragonball
Je suis quand même allée vérifier la définition de warp zone 😅🤓
et voilà ce que j’ai trouvé sur Wikipédia dans le contexte de jeux vidéo
« aussi bien vue comme un moyen de reprendre le jeu à un point plus avancé (sans devoir tout refaire), comme un moyen permettant de choisir son niveau, ou comme une astuce
et voilà ce que j’ai trouvé sur Wikipédia dans le contexte de jeux vidéo
« aussi bien vue comme un moyen de reprendre le jeu à un point plus avancé (sans devoir tout refaire), comme un moyen permettant de choisir son niveau, ou comme une astuce permettant d’avancer plus rapidement et d’ et d’éviter un passage difficile. »
C’est moi qui souligne « éviter un passage difficile »…
Intéressant, n’est-ce pas ?
On peut se demander si le fait d’avoir sauté la section B dans une forme ABAC n’était pas tout simplement une action ( astucieuse, je dois dire!) de l’ Inconscient de Benoît pour lui faire éviter un passage difficile !
Ah ! 🕵
Qu’en dites-vous, Benoît? 😉
Une autre chose qui me semble ressortir de la question posée, c’est la relation mémorisation et gestion du trac sur scène.
On pourrait dire : il faudrait vouloir être sur scène sur toute la durée de la pièce et peut-être même imaginer pouvoir y avoir du plaisir !
D’où l’importance d’avoir un entourage bienveillant quand on fait ses premières armes et continuer à se créer un « répertoire » d’expériences positives auxquelles se référer quand le mental s’emballe.
Comment reprogrammer les « self-concepts »limitants liés au “par cœur” ?
Comme nous l’avons vu précédemment, les idées limitantes ou self-concepts sont des sortes d’illusions imposées sur soi il y a longtemps.
Ombre d’une ombre…
ombre de ta ✋, ombre de ton 🐶
Il est important de comprendre qu’au-delà d’une préparation adéquate (en béton armé, si possible),
le problème souvent, ce n’est pas le « par cœur »
mais la réaction au « par cœur » !
C’est l’association d’idées, les connotations et les souvenirs d’expériences ratées (parfois une dans l’enfance suffit) qui viennent dramatiser cette pratique.
Le souci n’est donc pas dans le manque de capacités ou de compétences mais dans la panique « acquise » qui lui est associée.
Pour reprogrammer cela, il est selon moi essentiel de
– se souvenir des expériences (traumatisantes et…) des bonnes aussi !!
Autrement dit, cela vaut la peine de renforcer les souvenirs positifs, même les petites victoires – voire surtout celles-là !
D’autant que souvent nous sommes victimes d’un phénomène de distorsion cognitive. On a tendance à se souvenir beaucoup plus des expériences d’échec plutôt que des expériences positives.
Dommage, quand même !
– vérifier son discours intérieur
Ce qu’on se dit à soi-même
Aussi bien quand on travaille chez soi, qu’en cours ou avant de rentrer sur scène par exemple…
Être attentif aux phrases « Le par-cœur, ce n’est pas pour moi… »
Les écrire : radical pour prendre conscience de la négativité qui peut régner à l’intérieur de son mental et la stopper! ✍️👁😱
– pratiquer un travail mental de visualisation
Pour cela je traduis (de manière sauvage) un extrait d’article d’une de mes idoles pédagogiques, Simon Fischer
Chaque fois que vous pensez à une échéance qui approche – que ce soit un concert, un examen ou une audition, vous maintenez une image mentale dans votre esprit.
L’espace d’un instant, ou pour quelques secondes à la fois, mais de manière répétée, encore et encore, vous vous imaginez en train de jouer.
La question, c’est :
Quelles sont les images que vous vous repassez encore et encore dans votre tête ? Est-ce que ce sont des images d’un résultat que vous souhaitez ou bien que vous ne voulez pas ?
Si vous vous imaginez anxieux, ou si vous vous inquiétez d’avoir un trou de mémoire ou vous inquiétez de la réaction du public, ou pensez à ce démanché que vous risquez de rater en bas de la deuxième page ou cet endroit vers la fin où votre main se crispe, vous entretenez cette image dans votre esprit !
Fischer propose :
– de dire mentalement NON à ces images
– de construire pour les remplacer des images plus aidantes de liberté, de plaisir, d’aisance et de confiance.
Bon… une précision :
Il ne s’agit pas seulement de prôner la méthode Coué ou des affirmations positives.
Quoique
La pensée positive peut aider dans certains cas.
Mais cela ne vous aidera pas si vous n’avez pas fait le nécessaire et si vous ne connaissez pas la pièce…😰
Ce qui est intéressant ici, c’est de profiter du fait que – comme décrit en hypnose – le subconscient ne fait pas la différence entre ce qui arrive réellement , ce que vous visualisez dans l’œil de votre esprit et ce que vous visualisez avec votre œil physiologiquement. 👁💤
Allez, assez de psycho pour cette semaine, 🤕
au boulot ! 😅
Une fois que tout cela est « déconstruit », rien ne vaut un travail méthodique, commencé à temps, comme le dit si justement Stéphanie-Marie !
La mémorisation, sujet inépuisable –
la suite, la semaine prochaine !
Je partagerai – enfin ! – avec vous ma boîte à outils : méthodes et astuces avec des choses simples — mais hyper efficaces ! — et des choses…plus inattendues !
Le prénom d’Alzheimer , c’était comment déjà ? … 🤔😳
🎬
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